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Aujourd’hui, de nombreuses nouvelles nous parviennent de la direction de Koursk.
Ici, des volontaires colombiens engagés dans l’armée ukrainienne ont lancé une attaque bien planifiée et décisive au-delà de la frontière afin de prendre le contrôle d’une position importante. Ce faisant, ils ne se contentent pas d’établir une présence sur la zone, mais sabotent également les efforts offensifs russes dans la région de Soumy.
Récemment, des unités ukrainiennes ont engagé des opérations offensives précises dans la région frontalière, près du village russe de Novyi Pout, situé stratégiquement entre Tiotkino et les zones par lesquelles la Russie a infiltré l’oblast de Soumy. L’objectif de ces raids ciblés est clair : empêcher la Russie de lancer de nouvelles offensives à l’ouest de ses efforts actuels, ce qui non seulement réduirait la pression ukrainienne sur Tiotkino, mais menacerait également les défenses de Soumy depuis le nord.
L’approche tactique de l’Ukraine dans cette zone critique repose sur une stratégie en trois volets. Premièrement, il s’agit de réduire systématiquement les effectifs russes, affaiblissant la puissance de frappe ennemie. Deuxièmement, de neutraliser l’artillerie russe, privant ainsi les troupes au sol d’un appui-feu essentiel. Enfin, l’Ukraine mène des opérations chirurgicales qui, bien que modestes en apparence, produisent des résultats stratégiques bien supérieurs à leur impact immédiat sur le champ de bataille.
Dans cette logique, des drones ukrainiens ont récemment identifié et coordonné une frappe aérienne de précision contre une zone de déploiement de troupes russes en profondeur dans la région de Koursk.
Les images publiées ainsi que les renseignements préalables ont confirmé la destruction d’une formation aéroportée russe de taille compagnie.
En ciblant spécifiquement de telles unités d’élite, l’Ukraine cherche à perturber les capacités russes de coordination et de réaction rapide, réduisant ainsi considérablement leur capacité à mener des opérations offensives ou défensives cohérentes.
En complément, les forces ukrainiennes ont intensifié leurs efforts pour neutraliser l’artillerie russe. Notamment, des drones ukrainiens ont visé avec succès un système d’artillerie automoteur russe de 152 mm, le 2S43 Malva, à l’aide d’un drone kamikaze de précision de type Darts.
La destruction de telles pièces d’artillerie réduit la puissance de feu de l’ennemi, laissant les troupes russes au sol exposées et vulnérables aux raids ukrainiens, ce qui accélère encore l’attrition de la Russie.
L’opération la plus remarquable a toutefois été un assaut direct mené par des volontaires colombiens servant dans des unités ukrainiennes. Ces volontaires, dotés d’une grande expérience du combat acquise dans les forces armées colombiennes, ont joué un rôle décisif dans la neutralisation de forces russes retranchées dans une petite zone boisée proche de la frontière. Malgré sa taille modeste, cette parcelle boisée, entourée de champs ouverts, offre des avantages tactiques significatifs, conférant à celui qui la contrôle une maîtrise du territoire environnant.
L’assaut s’est déroulé avec une coordination méticuleuse. Des opérateurs de drones ukrainiens ont fourni une surveillance aérienne en temps réel, guidant précisément l’unité colombienne vers les tranchées et bunkers russes dissimulés dans la forêt. Tirant parti de leur expertise en infiltration discrète, les soldats colombiens se sont approchés sans être détectés, lançant un combat rapproché intense.
En réprimant les défenseurs russes dans leurs bunkers, les Colombiens ont méthodiquement nettoyé chaque position à l’aide de grenades et d’explosifs, finissant par sécuriser les tranchées principales après un combat acharné. Après cette victoire décisive, les forces colombo-ukrainiennes ont fièrement exposé l’équipement russe capturé comme trophée symbolique de leur succès.
La valeur tactique de cette position est importante. Son potentiel défensif est renforcé par des alignements boisés interconnectés et des villages proches, offrant aux troupes ukrainiennes des voies de communication dissimulées.
De plus, sa position stratégique permet un contrôle clair des lignes de tir, forçant toute unité russe en contre-attaque à s’exposer dans des zones de tir prévisibles et létales ou à s’aventurer à découvert dans les champs. En raison des fossés antichars et des dents de dragon construits par les Russes à l’ouest, une contre-attaque blindée russe devrait se diriger vers le sud. Ces manœuvres les exposeraient inévitablement à des tirs croisés venus du nord et du sud, où les unités ukrainiennes sont retranchées, les plaçant dans une zone de destruction totale.
En clair, si les commandants russes décident de reprendre cette zone boisée, qui protège le flanc oriental de Tiotkino, ils devront y engager d’importantes ressources, des troupes, du temps et des blindés.
Pour au final découvrir que les forces ukrainiennes se seront probablement repliées avant de succomber aux bombardements intenses, forçant ainsi la Russie à détruire une base de départ potentielle.
Dans l’ensemble, cette opération menée par des volontaires colombiens illustre parfaitement l’intention stratégique plus large de l’Ukraine le long de la frontière Soumy-Koursk. Les forces ukrainiennes mènent de nombreux raids de ce type, forçant continuellement la Russie à disperser ses ressources sur un territoire plus vaste, ce qui, cumulativement, retarde considérablement les opérations ennemies et épuise leurs capacités offensives. Collectivement, ces actions maintiennent les forces russes engluées, incapables de soutenir ou d’étendre efficacement leurs ambitions contre Soumy, tout en protégeant des positions ukrainiennes clés et en sapant profondément les objectifs russes.
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