La Russie Est Dévorée Par Les Fusillades De Masse, Les Suicides Et Les Effondrements Mentaux Parmi Les Soldats

Oct 22, 2025
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Aujourd’hui, il y a d’importantes nouvelles en provenance de la Fédération de Russie.

Ici, pour de nombreux conscrits russes, l’illusion du devoir patriotique s’est effondrée, provoquant les dernières fusillades de masse, remplacée par la peur, le désespoir et un besoin irrésistible de fuir à tout prix, d’éviter à tout prix toute participation à la guerre. Cette réalité sombre ne se limite guère aux lignes de front, elle déchire la société russe, les casernes de l’armée et l’esprit des soldats susceptibles d’être envoyés combattre.

Lors du dernier incident symbolisant cet effondrement intérieur, un conscrit russe a ouvert le feu sur ses camarades dans une unité militaire de la région de Moscou, tuant deux soldats et en blessant un autre avant de se donner la mort. La fusillade s’est produite dans le centre d’entraînement d’une brigade antiaérienne destinée aux nouvelles recrues.

Alors que l’armée russe affirme que le mobile reste flou, de tels cas ne sont plus rares. Les fusillades, suicides et crises mentales parmi les nouvelles recrues sont de plus en plus fréquents, révélant une armée qui se fissure psychologiquement sous le poids de la guerre. Les autorités russes parlent d’incidents isolés dus au stress, mais les témoignages de soldats et de proches racontent une autre réalité faite de bizutage, de privations et de désespoir. Malgré la propagande et la censure, les jeunes conscrits ne sont pas aveugles. Ils voient les images du front, entendent les récits des soldats revenus et savent ce qui les attend en Ukraine. Beaucoup tentent de fuir, mais de nouvelles lois draconiennes criminalisent même les recherches en ligne d’informations jugées extrémistes — une étiquette qui inclut désormais toute critique de la guerre.

Ceux qui finissent par être déployés affrontent souvent des conditions épouvantables et des pénuries d’équipement devenues absurdes. Les soldats sont envoyés au front sans gilets pare-balles efficaces ou avec des modèles bon marché en plastique, et les casques, bottes, gants et autres équipements de base font souvent défaut. Une vidéo choquante montre un soldat russe pillant joyeusement l’équipement de ses camarades morts, se filmant en train d’ôter un casque et un gilet d’un cadavre tout en remerciant ironiquement le défunt pour sa « contribution ». Son cynisme masque le désespoir : il avait été envoyé au combat sans protection et se réjouissait d’en trouver sur les morts. Cette scène illustre à quel point la corruption et la négligence dans l’armée russe ont transformé le pillage en moyen de survie.

Les pénuries dépassent largement l’équipement individuel : une vidéo publiée par le 225e régiment d’assaut ukrainien montre des détonateurs allemands datant de la Seconde Guerre mondiale découverts dans un dépôt de munitions russe capturé. Ces reliques du pacte germano-soviétique de Molotov-Ribbentrop, marquées des insignes allemands typiques de l’époque, constituent une ironie amère pour un régime qui prétend combattre le fascisme en Ukraine. Elles révèlent également l’épuisement stupéfiant des réserves de munitions russes, la Russie grattant des stocks centenaires pour maintenir sa machine de guerre en marche.

Même les conscrits qui n’ont pas encore été envoyés en Ukraine ressentent déjà le danger. Officiellement, les conscrits russes ne peuvent pas être déployés en combat actif, mais cette règle a été discrètement contournée et violée. Des milliers d’entre eux sont stationnés dans les régions frontalières de Belgorod, Briansk et Koursk, où ils subissent presque quotidiennement des tirs d’artillerie et de drones ukrainiens.

La crainte d’une nouvelle incursion ukrainienne, comme celle survenue dans la région de Koursk l’été dernier — qui s’est soldée par des centaines de conscrits russes capturés ou portés disparus — hante beaucoup d’entre eux. Enfin, un grand nombre sont contraints de signer ce qu’on appelle des contrats de « volontaires », souvent sous la menace de punitions ou de brimades pour le reste de leur service, une simple signature qui permet ensuite à l’armée russe de les envoyer directement au front.

Dans l’ensemble, malgré les efforts du gouvernement russe pour dissimuler l’ampleur du désastre, la vérité finit par s’infiltrer. Des millions de Russes connaissent désormais personnellement quelqu’un d’affecté — un ami mort, un fils disparu, un frère blessé. Et avec cette connaissance viennent la peur et une colère silencieuse, alors que le mythe d’un État russe glorifiant « le temps des héros » s’effondre, remplacé par la conscience lugubre que les soldats sont jetés dans un broyeur humain.

Sans perspective d’échapper à la guerre, pour de nombreux conscrits, il ne reste que deux issues : tenter désespérément de se blesser eux-mêmes ou aller en prison, ou devenir une victime anonyme dans les statistiques absurdes des gains territoriaux de leurs commandants.

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