ARRÊTEZ LA FOLIE ! La Russie Recrute Des Adolescents Pour Sauver La Guerre !

Sep 4, 2025
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Aujourd’hui, la plus grande nouvelle vient de la Fédération de Russie.

Ici, l’effort de guerre russe a atteint son point de rupture, forçant l’État à adopter des mesures autrefois jugées impensables pour maintenir sa machine militaire en marche. Avec des millions de pertes qui s’accumulent et une main-d’œuvre qui s’effondre, les adolescents russes sont désormais rapidement intégrés dans l’économie de guerre afin de combler les vides.

Ces dernières semaines, des rapports ont commencé à apparaître concernant des changements significatifs au sein du secteur de la défense russe. Ce qui rend ces rapports particulièrement alarmants, c’est qu’un des premiers cas confirmés de travail des mineurs est apparu dans le complexe d’Alabuga, où des adolescents sont désormais utilisés pour assembler des drones. Certains sont recrutés dans des écoles techniques, tandis que d’autres sont intégrés avec une formation minimale. La plupart vivent dans des dortoirs surveillés et travaillent sous surveillance, avec des sanctions en cas d’erreurs et des récits d’heures supplémentaires forcées.

Le danger ne réside pas seulement dans les conditions de travail elles-mêmes, mais aussi dans le fait qu’Alabuga a toujours été une cible prioritaire pour l’Ukraine. Puisque la chaîne de production des Shahed soutient les frappes de longue portée de la Russie, l’ensemble du complexe est désormais une cible militaire légitime, et les étudiants qui s’y trouvent sont, en réalité, placés en première ligne.

La situation reflète l’effondrement plus large de la base de main-d’œuvre russe et, après plus d’un million de pertes liées à la guerre — morts, blessés, capturés et démobilisés inclus — il n’y a plus assez de travailleurs adultes pour soutenir à la fois l’armée et l’économie. Des secteurs clés comme la construction, le transport et la production industrielle sont désormais en surcharge, en particulier dans les zones militaires. Les conditions à Alabuga ne sont probablement pas uniques, puisque des installations similaires à travers le pays subissent la pression de maintenir leur production malgré une main-d’œuvre en diminution et une demande croissante. Le même schéma est vraisemblablement en train de se reproduire ailleurs : expansions discrètes, main-d’œuvre non formée et absence de filet de sécurité.

Avant de recourir au travail des mineurs, Moscou avait tenté de compenser par le recrutement étranger, lançant de vastes efforts pour faire venir des travailleurs d’Asie centrale, d’Asie du Sud et d’Afrique ; cependant, les résultats furent insuffisants. La plupart des recrues étaient mal intégrées, manquaient de formation pertinente et faisaient face à une hostilité croissante de la société russe.

Cette pression a également ouvert des portes aux services de renseignement ukrainiens, car certaines des pertes les plus destructrices de drones et d’aérodromes en Russie — y compris la frappe qui a détruit un tiers de ses bombardiers stratégiques en une seule journée — ont été rendues possibles par des agents exploitant ces points faibles de l’intérieur du système de travail. Plusieurs furent même redirigés vers des rôles de soutien au combat. Ces scandales, combinés au ressentiment public, ont sapé toute l’approche. Aujourd’hui, le recrutement étranger existe encore mais n’est plus considéré comme une solution viable à long terme.

La dépendance de la Russie envers les adolescents n’est pas seulement un problème de main-d’œuvre ; c’est un problème structurel, car la machine de guerre russe consomme des effectifs plus rapidement qu’elle ne peut les remplacer. Mais au lieu de réduire l’échelle, elle élargit simplement le filet : d’abord les migrants, puis les prisonniers, et maintenant les élèves. L’objectif reste toujours le même : maintenir la production, quel qu’en soit le coût. C’est pourquoi les salles de classe se transforment en dortoirs, les enseignants sont écartés au profit de quotas de production, et les élèves apprennent à câbler des ogives au lieu d’apprendre les mathématiques.

Cependant, ces adaptations ont un prix, car les infrastructures civiles sont réaffectées à un usage militaire, brouillant la ligne de démarcation entre civil et combattant. En militarisant des sites industriels et en les remplissant de mineurs non formés, la Russie les expose à des représailles directes.

Si une usine de drones devient un centre militaire, alors les travailleurs civils, y compris les étudiants, se retrouvent en première ligne. Ce basculement vers une militarisation de masse de la société ne renforce pas la Russie ; il expose son noyau, et à chaque adaptation, cette vulnérabilité s’accroît.

Dans l’ensemble, le recours aux adolescents dans les usines de drones n’est pas une solution temporaire ; c’est un signe d’alerte. La Russie a épuisé sa main-d’œuvre disponible, épuisé ses options de recrutement étranger et fait désormais face à une pénurie de ressources internes. Si l’effort de guerre dépend désormais de mineurs pour maintenir les chaînes de production, cela indique que la Russie a consommé ses réserves de main-d’œuvre, un signe d’épuisement interne accéléré. À mesure que la Russie étend son système pour maintenir la production en temps de guerre, la probabilité augmente que l’Ukraine intensifie sa campagne de frappes en profondeur, visant non seulement les lignes d’approvisionnement, mais aussi l’infrastructure et le modèle de main-d’œuvre mêmes qui soutiennent la production russe.

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